Nous le précisions plus haut, le Galaxy A56 est muni d'un afficheur de 6,7 pouces. Il conserve aussi la même définition de 2340 x 1080 pixels, ce qui se traduit logiquement par une résolution légèrement moindre, de 385 ppp au lieu de 390 ppp. Il s'agit là encore d'une dalle Amoled au temps de rémanence nul et au contraste presque infini. La performance de l'afficheur du Galaxy A56 est bonne, puisque son delta E est faible (2,48 une fois calibré) et sa température des couleurs de 6812 K. Il est en cela un peu moins précis que l'A55 (delta E de 1,4 et température de 6516 K une fois calibré) que nous avions toutefois testé avec notre ancienne procédure de test. Nous constatons néanmoins que le Galaxy A56 fait mieux que son aîné sur le plan de la luminosité maximale avec 1746 cd/m² mesurés, soit presque 700 cd/m² de plus que son prédécesseur. De quoi compenser des reflets qui, s'ils sont un peu moins visibles que sur l'A55 (réflectance de 49 %, contre 52,2 %), sont tout de même très présents. À l'heure du bilan, grâce à sa calibration un peu plus juste, le Samsung Galaxy A55 remporte d'un cheveu cette manche.