PSG - OM : Le Qatar provoque une révolution à Marseille !

Alexis Poch - Journaliste Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit. Depuis des décennies, la rivalité entre l'OM et le PSG est très forte. En effet, chaque Classique est très attendu et depuis quelques années, la cote de popularité du club de la capitale est telle qu'il suscite l'intérêt de plus en plus de monde, y compris dans la cité phocéenne à en croire Eric Di Meco, ancien joueur marseillais. Les tensions entre Parisiens et Marseillais sont toujours palpables quand il s'agit de football. Pourtant, aux yeux d'Eric Di Meco, il y a de plus en plus de présence parisienne dans la cité phocéenne au fil des années, depuis le début de l'ère qatarie. Forcément, le PSG bénéficie d'une exposition plus importante en termes de résultats, le club dominant le championnat de France depuis 15 ans. Le PSG gagne du terrain à Marseille Depuis le début de l'ère qatarie, le PSG a changé de dimension et possède un rayonnement beaucoup plus important en France et en Europe. Forcément, la popularité est grandissante. « Quand on regarde à l’instant T ce qui se passe, c’est vrai qu’aujourd’hui, même à Marseille, je vois des maillots du PSG. Je n’avais jamais vu ça avant l’ère qatarie, ça n’existait pas un gamin qui avait un maillot du PSG à Marseille, ça existe aujourd’hui et sans problème en plus, les gens le portent » déclare Eric Di Meco sur RMC ce vendredi. « Paris est passé devant l'OM » Ancien grand joueur de l'OM où il a passé près de 15 ans, Eric Di Meco est très attaché au club de la cité phocéenne. Mais le consultant est obligé d'avouer que la popularité du PSG prend de grandes proportions. « Un exemple, je prends ce que j’ai connu car je suis du début des années 60, donc j’ai grandi au football à la fin des années 60/70, c’était l’AS Saint-Étienne. (…) Ceux des années 80, c’est Bordeaux, 90 c’est nous (l’OM), 2000 c’est Lyon, donc quand tu as une génération qui flambe en Europe, tu marques les esprits et les gamins. Car eux, voient les matchs à la télé. Maintenant, si tu veux parler de club le plus populaire, il faut dépasser le cadre du football, voire des résultats car je crois que Paris est passé devant l’OM un peu dans tous les secteurs » poursuit l'ancien défenseur.