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Après la mobilisation contre la réforme des retraites et les congrès, la représentativité syndicale chez les salariés du privé reste inchangée, avec la CFDT, la CGT et FO dans le trio de tête, mais en léger recul, contrairement aux plus petites organisations qui progressent, selon des chiffres de la direction générale du travail (DGT) publiés mardi 8 avril. La CFDT, qui avait ravi en mars 2017 la place de premier syndicat du privé à la CGT, a obtenu 26,58 % des voix (contre 26,77 % en 2021), devant la centrale de Montreuil qui se classe deuxième avec 22,21 % (contre 22,96 % précédemment), d’après la DGT. Force ouvrière (FO), troisième, obtient 14,91 % (contre 15,24 % en 2021), tandis que la CFTC se classe toujours cinquième en progressant très légèrement (9,58 % contre 9,50 %). « Pour la troisième fois consécutive, les salariés ont porté la CFDT à la première place des organisations syndicales françaises », a salué dans un communiqué la centrale dirigée par Marylise Léon. La CGT n’a pas pu regagner la première sa place en dépit de son score obtenu dans le scrutin des très petites entreprises (TPE) et des employés chez des particuliers (avec 27,64 % des suffrages exprimés, contre 14,86 % pour la CFDT). Depuis la réforme de la représentativité syndicale de 2008, cette audience est calculée tous les quatre ans en additionnant les suffrages recueillis par les syndicats lors des élections professionnelles (CSE) organisées dans les entreprises d’au moins 11 salariés et dans les TPE, ainsi que lors des élections dans les chambres départementales d’agriculture. Les syndicats représentatifs, recueillant plus de 8 % des suffrages, peuvent négocier des accords, désigner des conseillers aux prud’hommes, percevoir des subventions. L’enjeu est essentiel pour les organisations syndicales, particulièrement pour les trois premières avant leurs congrès respectifs prévus au printemps 2026, car la mesure de la représentativité dessine les rapports de force à l’intérieur des centrales comme à l’extérieur. La surprise vient du syndicat des cadres, la CFE-CGC, qui connaît une progression de 1,05 % (avec 12,95 % contre 11,90 %), talonnant ainsi FO de deux points. « On progresse chez les cadres comme chez les techniciens et agents de maîtrise », s’est réjoui le président de la CFE-CGC, François Hommeril, qui incarne une ligne plus combative au sein de son organisation. Pour le syndicaliste, « les évolutions en termes d’audience sont inscrites dans la durée, ce n’est pas comme en politique où des gens inconnus deux ans plus tôt peuvent se présenter et être élus », a-t-il ajouté dans une allusion au président français, Emmanuel Macron. Le résultat de cette séquence électorale était aussi essentiel pour les plus petits syndicats comme Solidaires et l’UNSA, qui jouissent de scores élevés dans certains secteurs (respectivement l’aide à domicile et la petite enfance) et espéraient encore devenir représentatifs. Las, la marche reste encore un peu haute. L’UNSA obtient ainsi 6,45 % (contre 5,98 %) et Solidaires décroche 3,75 % des suffrages (contre 3,66 %). « Quand la majorité des autres organisations baissent ou stagnent, l’UNSA connaît la deuxième meilleure progression sur l’ensemble du champ des salariés du privé », s’est réjouie l’organisation dans un communiqué publié mardi. « Les résultats sont globalement positifs, avec l’obtention de la représentativité dans de nouvelles branches », souligne auprès de l’Agence France-Presse Aurélien Bourdon, secrétaire national de Solidaires, « conscient du chemin qui reste à parcourir ». Cependant, peu de