Qui a pu oublier le fou rire général de nos Bleus champions du monde, Barthez, Zidane et Lizarazu en tête, lors d’une étonnante Marseillaise interprétée par un baryton islandais, en septembre 1998 à Reykjavik ? Mardi soir à Villa Park, Joao Neves, Vitinha et Nuno Mendes ont quasiment eu la même réaction, tout comme leurs adversaires Youri Tielemans et Ezri Konsa, durant l’avant-match de Aston Villa-PSG (3-2). (Petite) erreur à Villa Park : c'est l'hymne de la Ligue Europa et non celui de la Ligue des champions qui a été joué 😅#AVLPSG | #UCL pic.twitter.com/lq8iGUUGfy — CANAL+ Foot (@CanalplusFoot) April 15, 2025 L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires. Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies J’accepte Mais pourquoi y a-t-il eu une telle séquence de déconcentration au moment toujours spécial où l’hymne de la Ligue des champions doit être lancé dans le stade ? Tout simplement parce que l’organisation de ce quart de finale retour de C1 a mystérieusement diffusé en intégralité l’hymne… de la Ligue Europa à la place ! Unai Emery en plein dans son élément Surpris par ce loupé insolite, les joueurs parisiens et les Villans ont eu du mal à vibrer, comme tous les spectateurs de Villa Park. La sono a bien tenté de rattraper son erreur en lançant à l’arrache un extrait du bon hymne, sauf que les joueurs n’étaient plus du tout en rang, et que le public a faiblement repris le « Champiooooooooons » final, sans la magie habituelle. Les fans ultimes et superstitieux d’Unai Emery ont pu voir dans cet épisode un coup de pouce du destin en faveur du coach aux quatre sacres en Ligue Europa. A quelques parades de Gianluigi Donnarumma et à un sauvetage miraculeux de Willian Pacho près, on a bien failli moins se marrer au final.