Dans : OL. Par Claude Dautel Tandis que l'OL joue un match d'une importance énorme ce samedi contre Rennes, cela secoue toujours dans les coulisses du club de John Textor. Le propriétaire américain de l'Olympique Lyonnais ne fait pas l'unanimité. On l'a appris cette semaine, Laurent Prud'homme, directeur général de l'OL, pourrait être écarté de son poste ou pire viré du club rhodanien. Une situation qui confirme que John Textor n'est pas du tout du genre à rester passif, même au coeur d'une saison où le patron d'Eagle Football Group a déjà limogé un entraîneur, Pierre Sage, et un directeur sportif, David Friio. Alors que cela bouge donc encore beaucoup au plus haut sommet de l'Olympique Lyonnais, certaines légendes du club ne sont pas du tout fan des méthodes de John Textor, au point même de refuser la main tendue par l'OL. En effet, le club rhodanien a décidé de mettre en valeur les anciens joueurs lyonnais à travers la structure OL Légendes. Un joueur qui a compté dans l'histoire de l'Olympique Lyonnais a refusé d'intégrer ce groupe. Sonny Anderson ne veut pas cautionner John Textor OL : Laurent Prud'homme, le dérapage qui a alerté Textor https://t.co/GuyVM7gkxo — Foot01.com (@Foot01_com) April 23, 2025 En effet, Sonny Anderson, qui a porté le maillot de l'OL entre 1999 et 2003, et marqué 94 buts avec Lyon, a refusé d'intégrer OL Légendes, ce que lui avait proposé Cris, qui est à la tête de ce projet. Sonny Anderson n'a pas trouvé de fausses excuses pour justifier son choix de ne pas accepter de rejoindre ce groupe d'anciens joueurs, qui devrait bientôt jouer en lever de rideau d'un match de Ligue 1. « Je n’ai pas adhéré à OL Légendes car je suis en désaccord avec l’actuelle direction », a indiqué, dans Le Progrès, l'ancienne légende brésilienne de l'Olympique Lyonnais lorsqu'il lui a été demandé s'il allait rejoindre ce groupe lancé il y a quelques semaines par l'OL. Même si Sidney Govou, Pierre Laigle ou encore Maxime Gonalons sont déjà membres d'OL Légendes, Sonny Anderson n'en sera pas et on sait clairement pourquoi.