"Une femme seule" : Claire Chazal sans langue de bois sur sa vie de célibataire

Elle a exprimé ses sentiments sur la solitude, affirmant que la liberté personnelle est précieuse malgré les angoisses liées à l'âge. Le 26 avril, Claire Chazal, invitée de C l'Hebdo sur France 5, a partagé ses réflexions sur sa carrière et sa vie personnelle. Mieux vaut être seul... Claire Chazal connaît la suite, et confirme ce proverbe. Samedi 26 avril, elle était invitée dans C'l'Hebdo, sur France 5, aux côtés de Marina Carrère d'Encausse notamment. L'ex star du JT a fait des confidences sur ses 25 ans d'antenne où elle a rencontré, entre autres, Mylène Farmer, Nicolas Sarkozy ou encore Jim Carrey. Une période de sa vie à laquelle elle est particulièrement attachée. Mais dont elle est parvenue à faire le deuil. Un autre deuil que Claire Chazal, 68 ans, a fait, est celui de sa vie amoureuse. Comme elle l'a confié, être "une femme seule" convoque certaines angoisses chez elle. "La peur du temps qui se rétrécit" et celle de "disparaître" notamment. Pour autant, "ce n’est pas très grave parce que des vies s’organisent autrement. J’étais assez jalouse de ma liberté et c’est peut-être ça que j’apprécie", a-t-elle dévoilé. Claire Chazal : "C'est pas très grave" Dans la suite de sa prise de parole, elle a eu des mots engagés. Elle a souligné que le vrai problème, pour une "femme seule", était surtout le regard parfois jugeant de la société."C'est pas très grave, parce que les vies s'organisent autrement. Pour moi, il n'y a pas de tabou social. On peut être une femme seule, etc. On peut aussi vivre à sa guise, comme on a envie de le faire. Donc moi, ça ne me pose pas de problème sur le plan de la société. Je peux tout à fait assumer d'être une femme seule, et je pense que, oui, ce sont des choses auxquelles on peut renoncer", a-t-elle analysé. "Tout en étant bien ?" s'est assuré Aurélie Casse. "Tout en étant pas mal !" a confirmé Claire Chazal, soulignant qu'une vie à deux était aussi "beaucoup d'efforts, de concessions, et peut-être moins de libertés. Moi, j'étais assez jalouse de ma liberté, et c'est peut-être ça, que j'apprécie, finalement", a-t-elle redit. "Il y avait une forme d'inquiétude chez moi" Dans la suite de l'entretien, celle qui a longtemps partagé sa vie avec Patrick Poivre d'Arvor a continué à faire preuve de beaucoup d'honnêteté. Elle a notamment parlé de sa "notion du bonheur". Une notion encombrée d'inquiétude, chez elle. "La notion de bonheur est très relative, il y avait une forme d'inquiétude chez moi. Je ne crois pas que je puisse parler de bonheur absolu. C'est une éducation, une difficulté à apprécier les moments… C'est une nature".