Payet livre les détails de ses pratiques extraconjugales « sadomasochistes » avec l’avocate qui l’accuse de violences
Comment dit-on en Anglais, déjà ? Ah oui, « TMI », « too much information ». C’est la conclusion à laquelle on en vient à la lecture des déclarations faites par Dimitri Payet lors de son audition devant la DEAM de Jacarepagua, la Police spécialisée dans la protection des femmes, le 16 avril dernier, et révélées aujourd’hui par le média brésilien Globo. Accusé de « violences physiques, psychologiques et sexuelles » par une avocate de 28 ans, l’ancien Marseillais a confirmé l’existence d’une relation extraconjugale avec Larissa Ferrari mais a nié les violences dont il est aujourd’hui accusé. Pour se défendre, l’ex-international tricolore a donné moult détails qui, on vous prévient par avance, peuvent choquer les âmes sensibles. Il détaille ainsi des pratiques sadomasochistes avec cette femme qu’il aurait rencontrée sur les réseaux sociaux. Celle-ci aurait « commencé à envoyer des vidéos intimes et à parler de sujets liés au sexe », avant que les choses aillent plus loin. J'ai lu l'article sur Dimitri Payet et Larissa Ferrari. J'aurais pas dû pic.twitter.com/vopSRXQLoF — Guil 💜🏆 (@Guil21036) April 25, 2025 L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires. Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies J’accepte Dimitri Payet assure que Larissa Ferrari lui aurait demandé « d’uriner » sur lui « à plusieurs reprises ». En janvier 2025, l’avocate lui aurait envoyé « une vidéo dans laquelle elle buvait spontanément sa propre urine et mettait sa tête dans les toilettes ». Le joueur de Vasco de Gama poursuit en précisant que cette pratique était « courante au sein du couple » adultérin. « Ma vie n’est plus la même » Quant aux marques retrouvées sur le corps de la plaignante, le joueur formé au FC Nantes assure que cela vient du fait qu’elle lui aurait demandé de « lui gifler les fesses, ce qui a laissé des traces ». Toujours selon Globo, Payet aurait assuré que Larissa Ferrari souhaitait poursuivre leur relation en France, une fois la fin du contrat du joueur acté avec le club brésilien, ce qu’il aurait refusé. C’est à ce moment-là que la plaignante aurait menacé de révéler leurs « secrets ». De son côté, la femme a confirmé à nos confrères de RMC Sport la véracité des « violences psychologiques à [son] encontre, utilisant le chantage émotionnel pour obtenir un avantage sexuel ». « Je suis actuellement en traitement psychologique et psychiatrique pour faire face à cette situation. Ma vie n’est plus la même », avait-elle conclu.