PSG - OM : Le piège tendu à Drogba !

Alexis Brunet Vendredi soir, l’OM célébrait ses 125 ans au stade Vélodrome avec un match des légendes. Pour l’occasion, Didier Drogba avait fait le déplacement du côté de Marseille, lui qui a passé qu’une seule saison dans le sud de la France, mais qui est adulé par les supporters marseillais. Après la rencontre, l’ancien buteur a été pris au piège et questionné sur le parcours du PSG en Ligue des champions. Cette saison, le PSG a l’occasion de marquer l’histoire. Après avoir mis la main sur le titre en Ligue 1, le club de la capitale a également l’occasion de remporter la Coupe de France, mais aussi la Ligue des champions. Les Parisiens peuvent donc réussir un magnifique triplé et même le quadruplé si l’on compte le Trophée des champions gagné en janvier dernier contre l’AS Monaco (1-0). L’obstacle Arsenal Mais pour pouvoir rêver d’un premier sacre en Ligue des champions, le PSG va d’abord devoir se défaire d’Arsenal. Les Parisiens ont gagné la manche aller 0-1 et ils reçoivent les Gunners mercredi soir pour le match retour. Si les coéquipiers de Marquinhos se qualifient, ils affronteront alors soit l’Inter Milan soit le FC Barcelone, qui se départageront mardi soir. « À jamais les premiers » Si le parcours du PSG ravit les supporters parisiens, ce n’est forcément pas le cas pour les fans de l’OM. Vendredi soir, après le match des 125 ans du club phocéen, Didier Drogba a d’ailleurs été interrogé sur le sujet en zone mixte. Entre Arsenal et le champion de France, l’ancien buteur passé par Marseille et Chelsea n’a pas pu faire un choix, comme rapporté par RMC : « Vous voulez vraiment savoir la réponse ? Aucune des deux équipes. Mais je pense que pour le football français, c'est bien d'avoir une équipe qui va aussi loin. Bon vent à eux. » Il a par la suite été demandé au joueur passé par Galatasaray s’il souffrait devant la réussite du PSG et l’Ivoirien s’est alors permis d’envoyer un petit tacle aux Parisiens. « Une souffrance ? En toute sincérité ? Sans commentaire ! C'est la vérité. Tant mieux pour eux mais ça ne changera rien. À jamais les premiers, comme on dit. »