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Par Alexandre Lemarié Temps de Lecture 2 min. Les Bleus du football quittent « leur » Stade de France, au moins temporairement. L’équipe de France masculine va jouer ses trois matchs de l’automne 2025 au Parc des Princes, à Paris, a annoncé Philippe Diallo, le président de la Fédération française de football (FFF), jeudi 17 avril, à l’issue d’un comité exécutif. Cela concernera la réception de l’Islande (le 9 septembre), celle de l’Azerbaïdjan (le 10 octobre) et, enfin, celle de l’Ukraine (le 13 novembre). Alors que trois autres rencontres sont prévues de mars à juin 2026, la FFF choisira leurs enceintes plus tard, préférant se « donner un temps de réflexion ». Si les Bleus délaissent l’écrin où ils évoluent habituellement et où ils ont été sacrés champions du monde, en 1998, c’est en raison de l’incertitude qui plane sur l’utilisation du Stade de France à partir d’août 2025. L’Etat, propriétaire de l’enceinte située à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), est en négociations exclusives avec le groupe GL Events depuis décembre 2024, mais tarde à prendre sa décision définitive pour renouveler la concession. Jeudi, le Conseil d’Etat a d’ailleurs rejeté le recours du consortium Vinci-Bouygues, l’actuel concessionnaire, qui contestait la décision de l’Etat d’entrer en négociations exclusives avec GL Events pour l’attribution de la gestion du complexe sportif cet été. L’identité du futur concessionnaire étant encore incertaine, la FFF a envisagé une forme de plan B pour les matchs de l’équipe de France après le mois d’août. Mais cela ne veut pas dire pour autant que l’équipe de Didier Deschamps ne jouera plus dans l’enceinte où elle a battu la Croatie (2-0 t.a.b. 5-4), le 23 mars, en quarts de finale retour de la Ligue des nations. « Ce n’est pas du tout mort avec le Stade de France, qui est pour nous un lieu symbolique auquel on est attaché », a assuré Philippe Diallo. Pour l’heure, cependant, la fédération est en attente d’une prise de parole de l’Etat sur le sujet. Une fois que la puissance publique aura pris une décision, la FFF « étudiera les conditions économiques pour pouvoir retourner au Stade de France puisque nous ne nous interdisons absolument rien », a ajouté M. Diallo. Le retour des Bleus dans leur arène traditionnelle suppose que le nom du concessionnaire soit connu et que la fédération (comme son homologue du rugby) s’entende avec lui. Pour l’instant, « il n’y a pas d’accord noué avec le candidat à la concession », a précisé Jean-François Vilotte, le directeur général de la FFF. Pour le match de l’équipe de France prévu en mars 2026, M. Diallo a expliqué qu’il y avait une « réflexion » afin qu’il se déroule « à l’étranger ». Sans donner plus de détails. Autre sujet abordé par M. Diallo à l’issue de ce comité exécutif : la réforme du football professionnel. Après avoir organisé une r