Une chasse au trésor géante. Depuis qu’une entrepreneuse anglo-égyptienne, Sarah Hamouda, a eu envie d’une tablette de chocolat fourrée à la pâte de pistache croquante pendant sa grossesse, qu’elle a finalement concoctée et commercialisée, le marché du chocolat s’en trouve tout bousculé. Initialement nommé «Cant get knafeh of it» («on ne peut pas s’en passer»), le produit a vite été rebaptisé «chocolat de Dubaï» sur les réseaux sociaux, où les dégustations sont devenues virales. Notamment en raison de l’intérieur étonnant de la tablette, vert flashy avec des nouilles kadaïf, ou «cheveux d’ange». Mais on n’en connaît pas la composition, ni la liste des ingrédients exacte, faute d’emballages à portée de mains.