Thibault Morlain - Journaliste Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris. Depuis son plus jeune âge, la vie de Marion Rousse ne tourne autour que d’une chose : le cyclisme. Aujourd’hui consultante sur France Télévisions, la compagne de Julian Alaphilippe était auparavant dans le peloton. Une carrière sur le vélo que Marion Rousse a commencé très tôt. N’ayant donc pas eu une enfance pas comme les autres, elle n’a notamment pas connu le plaisir des boites de nuit comme elle l’a expliqué. Pour Marion Rousse, la vie a très rapidement été centrée sur le vélo. Ayant commencé très jeune cette discipline, elle a expliqué à l’occasion du podcast Dream Team : « Le cyclisme a fait partie très tôt de ma vie ? On était très sport. L’ADN, c’était vraiment le cyclisme, qui est un sport populaire. Surtout dans ma région, le nord. C’est super pour pouvoir rouler, moi je suis amoureuse de ma région. Très tôt, à l’âge de 6 ans, j’ai commencé la compétition ». « Je n’ai pas connu les boites de nuit » Marion Rousse a donc commencé très tôt le cyclisme. Une pratique qui a forcément impliqué certains sacrifices pour atteindre le plus haut niveau. « C’est clair que je n’ai pas été carriériste parce que pour moi, j’avais besoin de faire du sport, le vélo en particulier, pour m’épanouir. J’ai aussi eu des résultats très tôt. J’ai aussi eu une enfance particulière, je n’ai pas connu les boites de nuit, j’allais à l’école mais je pensais plus à aller m’entraîner le soir. J’ai très vite intégré l’équipe de France, je suis partie très tôt de la maison. Ça te fait grandir plus vite. J’étais très axée sport dans la jeunesse », raconte celle qui dirige aujourd’hui le Tour de France femmes. « Mon parcours de vie il n’était pas écrit d’avance » A propos de son parcours, Marion Rousse a par ailleurs fait savoir : « J’ai toujours douté. Je suis fonceuse, mais en même temps, je cogite beaucoup. J’ai eu pas mal de déclics dans ma vie, avec ce petit côté au début timide et en même temps de me dire que je ne vais pas y arriver. Tu y vas, mais tu as peur. Et finalement, au fur et à mesure des années, tu prends confiance en toi, tu vois que le job tu le fais bien et du coup tu deviens plus à même de prendre des bonnes décisions. Mon parcours de vie, alors que je n’ai que 31 ans, il n’était pas écrit d’avance. Il n’y a personne qui m'a tendu la main, je n’avais pas un parcours écrit d’avance. Je viens de la campagne, mon père était ouvrier, ma mère dans l’éducation nationale. Quand j’ai commencé dans la télé, ça les a effrayé. Mes parents ont dit ça y est, elle va se jeter dans la gueule du loup, comment ça va se passer. J’y suis allée, toujours le côté fonceuse, mais prudente ».