One Piece : les pièces de la Monnaie de Paris sont de retour, avec un vrai trésor à la clé

Bien que la saga One Piece ait déjà plusieurs dizaines d’années, sa popularité ne faiblit pas. En 2024, en plus du pop-up store dédié aux cartes à jouer de la franchise, la Monnaie de Paris a fait sensation en invitant les personnages de One Piece à entrer dans son prestigieux catalogue. À travers une première collection de mini-médailles et de monnaies en métaux précieux, l’univers d’Eiichiro Oda s’est offert une déclinaison à succès. En quelques semaines, de nombreuses références étaient déjà épuisées, preuve de l’engouement incroyable que suscite toujours la saga auprès des fans et collectionneurs passionnés. Le phénomène n’est tellement pas passé inaperçu que la Monnaie de Paris a dédié de réitérer l’expérience. Elle annonce aujourd’hui une nouvelle édition, disponible dès ce 29 avril. Cette fois, elle va encore plus loin en rendant hommage non seulement à Luffy et son équipage, mais aussi à l’univers plus récent de One Piece, notamment à travers l’arc de l’île d’Egg Head. Les amateurs pourront découvrir une série de neuf mini-médailles dorées représentant les membres de l’équipage du Chapeau de paille ainsi que des personnages emblématiques comme Vegapunk. En parallèle, quatre mini-médailles argentées, plus rares, mettront à l’honneur les quatreempereurs actuels : Shanks, Teach (Barbe Noire), Baggy et Luffy sous sa mythique forme Gear 5. Un trésor à plus de 900 euros à trouver Pour les fans de One Piece, mettre la main sur ces pièces est bien plus qu’un simple acte de collection. Chaque médaille capture un moment clé de la série ou une figure iconique. La Monnaie de Paris a également ajouté un élément de chasse au trésor en glissant dans certaines pochettes des médailles dorées spéciales. Si vous trouvez une version dorée de Luffy Gear 5, vous remportez une véritable pièce d’or d’une valeur de 910 €. Une occasion unique pour les collectionneurs de décrocher le fameux One Piece. Des loot boxes dans la vraie vie Cependant, cette méthode de distribution n’est pas sans rappeler un modèle bien connu dans l’univers du jeu vidéo : celui des loot boxes. Chaque mini-médaille est vendue en pochette individuelle et aléatoire, ce qui signifie que l’acheteur ne sait pas à l’avance quel personnage ou quelle rareté de pièce il obtiendra. Ce système, très critiqué dans les jeux vidéo pour ses similitudes avec les mécaniques de jeux d’argent, continue pourtant d’être largement accepté dans l’univers des objets physiques. En témoignent le succès des cartes Pokémon ou des figurines à collectionner. La différence majeure réside dans la perception : lorsqu’il s’agit d’un objet tangible, souvent considéré comme un souvenir ou une œuvre d’art miniature, l’expérience est vécue comme ludique plutôt que problématique. Mais au final, n’est-ce pas le même système ?