Vance au Vatican, Nucléaire iranien et Équateur : les informations de la nuit
Cet article est issu de Réveil Courrier. Chaque matin, dès 6 heures, un résumé de l’actualité du jour. Le vice-président américain JD Vance reçu par le numéro deux du Vatican. En visite à Rome pour le week-end pascal, le vice-président américain JD Vance a été reçu samedi au Vatican par le numéro deux du Saint-Siège, le cardinal italien Pietro Parolin. “Pour le moment”, une rencontre avec le pape François “n’est pas prévue, mais elle n’est pas exclue non plus”, observe La Stampa. En dépit des critiques du pape à l’égard de nombreux aspects de la politique de Donald Trump et de son vice-président, notamment en matière d’immigration, la rencontre entre M. Vance et le cardinal Parolin a été “cordiale”. Selon le Vatican, il y a eu “un échange de vues sur la situation internationale, notamment concernant les pays touchés par la guerre, les tensions politiques et les situations humanitaires difficiles, avec une attention particulière portée aux migrants, aux réfugiés et aux prisonniers”. Nucléaire iranien : “optimisme prudent” après un deuxième round de négociations. “Un deuxième round de discussions de haut niveau entre les délégations américaine et iranienne sur le programme nucléaire de Téhéran s’est achevé samedi à Rome, dans un contexte d’optimisme prudent”, observe CNN. Les parties ont convenu de poursuivre les discussions “dans une semaine” au sultanat d’Oman, qui fait office de médiateur dans ce dossier. “Nous avons fait de très bons progrès dans nos discussions directes et indirectes”, a déclaré un haut responsable américain à CNN, tandis que la délégation iranienne a salué “une meilleure compréhension” et “un accord sur certains principes et objectifs”. Équateur : “alerte maximale” suite à un complot présumé contre le président Noboa. L’Équateur a été placé samedi en “état d’alerte maximale” suite à un complot présumé visant à éliminer le président Daniel Noboa, réélu le 13 avril pour un nouveau mandat de quatre ans, rapporte El Universo. Selon un rapport confidentiel des forces armées, qui a filtré samedi dans les médias locaux, les menaces viendraient du “crime organisé”, qui “rejette les résultats du second tour des élections de dimanche dernier”, ajoute le quotidien équatorien. Courrier international À Irkoutsk, en Russie, ce n’est pas encore la guerre, mais plus tout à fait la paix En France, le secteur de l’armement est sur le pied de guerre À Puerto Mad