Braquage de Kim Kardashian : un des suspect est mort quelques jours avant le début du procès

Des menaces de gangs mafieux et des liens avec le crime organisé entourent la mort de Baum-Gertner, ajoutant une dimension intrigante à l'affaire. Le procès du braquage est perturbé par la mort de Marceau Baum-Gertner, un suspect clé, décédé à 72 ans dans des circonstances non élucidées. Les faits se sont déroulés quelques années plus tôt... En 2026. Dans la nuit du 2 au 3 octobre, Kim Kardashian se trouve dans un hôtel parisien, pendant la Fashion Week, lorsque des malfaiteurs entrent dans sa suite et la menace à l'aide d'une arme à feu, avant de lui voler des biens et des bijoux d'une valeur de 9 millions d'euros. Alors que le procès est prévu entre le 28 avril et le 23 mai, ce dernier vient d'être bouleversé par un événement inattendu : le décès de Marceau Baum-Gertner, l'un des suspects mis en cause. L'homme, que l'on surnommé Nez Râpé ou "diamant brut", est décédé à l'âge de 72 ans. Pour le moment, les circonstances de sa mort n'ont pas encore été dévoilées. Le timing serait-il qu'une simple coïncidence ? Braquage de Kim Kardashian : "Il était très enthousiaste à l'idée de..." Ce dernier devait être jugé, à partir de lundi, avec neuf coaccusés, pour le braquage de Kim Kardashian. Il avait déjà été condamné par le passé pour vol et implication dans des biens volés. Peu avant sa mort, Marceau Baum-Gertner aurait également reçu des menaces émanant d'un crime organisé, rapporte le journal Mirror. "M. Baum-Gertner avait été libéré sous caution à la suite de son arrestation pour le vol de Kim Kardashian il y a huit ans, et vivait à Paris, tout en faisant régulièrement rapport à la police. Son nom était sur la liste des accusés pour le procès, et il était très enthousiaste à l'idée d'effacer son nom au tribunal", a déclaré une source au Mail Online. Des menaces avant sa mort "C'était jusqu'à sa mort subite dans le 10e arrondissement de Paris le 6 mars. Il était soupçonné d'avoir fait une liaison avec des gangs mafieux du monde entier au sujet des bijoux Kardashian, et les criminels sont connus pour avoir proféré des menaces contre lui à la suite d'une publicité généralisée liée à l'affaire", a ajouté cette dernière. D'après les éléments de l'enquête, le défunt suspect devait se rendre en Belgique pour revendre les 9 millions d'euros de bijoux volés. Avant son décès, il avait admis s'être rendu à Anvers, accompagné d'un autre accusé, pour vendre de l'or fondu.