Alors que les purges du DOGE sont plus que jamais critiquées, et que le départ d’Elon Musk du gouvernement se rapproche, un élu républicain a fait face à une foule très énervée. La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. ÉTATS-UNIS - Des cris de désaccords mélangés à des applaudissements dans une ambiance plus que chaotique. Ce lundi 21 avril, Byron Donalds, représentant Républicain de la Floride, a découvert à quel point le DOGE était détesté lorsqu’il a tenté de répondre à des questions sur le sujet. Lors d’un « town hall », une réunion publique durant laquelle un élu local échange avec les habitants, ce dernier a fait face à une foule en colère. La question posée, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo ci-dessus, était la suivante: « En tant que membre du comité de surveillance, comment supervisez-vous Elon Musk et DOGE ? » Byron Donalds a alors tenté de défendre le département pensé pour Elon Musk, mais n’a pas arrêté d’être interrompu par les huées du public. Selon CNN, les cris se sont intensifiés lorsqu’il a essayé de comparer les actions du DOGE à celles de Barack Obama, qui voulait lui aussi « améliorer l’efficacité du gouvernement ». Tous les voyants étant au rouge pour le DOGE, la réponse du public n’est pas étonnante. Le mandat d’Elon Musk en tant qu’employé spécial va expirer fin mai, et le patron de Tesla et SpaceX, lourdement critiqué lors de manifestations anti-Trump, revoit déjà le bilan du DOGE à la baisse. Qui plus est, d’après le Washington Post, les agences gouvernementales sont loin de toutes avoir appliqué avec zèle les mesures imposées par le DOGE, de nombreux fonctionnaires n’hésitant pas à désobéir aux ordres de Musk. Autant de facteurs qui n’ont pas aidé Byron Donalds à défendre les actions impopulaires du DOGE, et plus largement de l’administration Trump. Après plusieurs questions sur les purges d’employés fédéraux, le débat s’est tourné vers les actions de l’armée israélienne à Gaza. Comme l’explique CNN, une femme s’est alors levée pour critiquer le soutien des États-Unis envers Israël, et a été contrainte de quitter la salle, dans laquelle certains membres du public s’étaient mis à chanter « Libérez la Palestine ». À voir également sur Le HuffPost : La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. plus : Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisée par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription à la newsletter.