En Euroligue, le néophyte Paris Basketball et l’expérimenté Monaco à l’assaut des phases finales

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Services Le Monde Services partenaires GUIDES D'ACHAT Suppléments partenaires Pour sa première participation, le club de la capitale affronte Fenerbahçe en quarts de finale à compter de mardi. L’équipe du Rocher jouera, elle, sa place dans le Final Four face à Barcelone. Par Clément Martel (avec AFP) Temps de Lecture 2 min. David Kahn en avait rêvé. « Il y a vraiment une grosse attente pour qu’on ait enfin une vraie grande équipe à Paris. Tout le monde sait bien qu’on n’y est pas encore. Cela va prendre plusieurs années, mais l’enthousiasme suscité par ce projet est palpable », affirmait au Monde, en octobre 2018, le patron du tout nouveau Paris Basketball. Tout était alors à construire pour ce club monté de toutes pièces après le rachat de la licence d’une formation de Pro B (deuxième division) par l’homme d’affaires américain et ancien président des opérations basket de la franchise de NBA des Minnesota Timberwolves. Il lui fallait bâtir un collectif, trouver une salle et se créer un public. Moins de sept ans plus tard, le pari est réussi. Le Paris Basketball a pris ses quartiers à l’Adidas Arena, enceinte flambant neuve de la porte de la Chapelle, dans le 18e arrondissement, inaugurée peu avant les Jeux de Paris 2024. Et c’est dans une salle comble que le vainqueur de l’Eurocoupe 2024 joue ses rencontres de l’Euroligue cette saison. Mieux, pour sa grande première dans la compétition continentale reine, le club de la capitale brille ; en l’emportant sur le parquet du prestigieux Real Madrid, le 15 avril, en barrages, il a validé son billet pour les playoffs. Paris disputera le premier acte de son quart de finale, mardi 22 avril à 19 h 45, sur le parquet de Fenerbahçe, à Istanbul. En cas de qualification – au meilleur des cinq manches –, les hommes du Brésilien Tiago Splitter se hisseraient dans le Final Four, une performance inespérée. L’équipe francilienne n’est pas la seule formation française en phases finales de l’Euroligue cette saison : Monaco, qui affronte le FC Barcelone à compter du mercredi 23 avril, y participe aussi. Mais le club du Rocher est, lui, un habitué à ce stade de la compétition, qu’il atteint pour la quatrième année de suite. « Nous sommes si proches d’y arriver et, en même temps, si loin. Nous savons à quel point ce qui nous attend est difficile », assurait l’entraîneur parisien, dimanche 20 avril. Ses troupes ne partent pas favorites face au mastodonte turc, champion national à dix reprises, vainqueur de l’Euroligue en 2017, et qualifié pour les quarts pour la troisième année d’affilée. Mais les coéquipiers du feu follet T. J. Shorts ont pris l’habitude de renverser les montagnes. « Cette équipe a du caractère. Elle l’a démontré tout au long de la saison, assurait l’arrière Yakuba Ouattara au sortir du play-in face à Madrid. On est vraiment l’équipe “poil à gratter” qui fait peur aux adversaires. » La Roca Team monégasque, elle, n’est plus parmi les néophytes de l’Euroligue. Bien que la constitution de l’équipe du Rocher en une pla