Quand Jeanne Mas interpelle Elon Musk et dénonce la fin de la « décence » sur X
Publié le 23/04/2025 à 22h29 • Mis à jour le 24/04/2025 à 10h41 Dans un message publié sur son compte X, Jeanne Mas s’est adressée à Elon Musk pour dénoncer la présence massive de contenus haineux sur la plateforme. L’artiste y décrit une expérience utilisatrice marquée par des « tweets postés sans contrôle par des inconnus avec de fastidieuses insultes racistes, misogynes, homophobes et misanthropes », malgré la désactivation de toutes les options d’intérêt proposées par le réseau social détenu par le patron de Tesla. Elle évoque « des tweets d’une violence et d’une sauvagerie insoutenables et inacceptables » qui s’imposent à elle dès sa connexion. Selon Jeanne Mas, la promesse de liberté d’expression prônée par Elon Musk tourne désormais au cauchemar numérique. « Sur X on insulte, on humilie, on détruit, on calomnie, on blesse, on menace. Il n’y a pas de règle, pas de limite, plus la moindre décence. » Elon Musk complice des dérives de la plateforme Face à ce qu’elle perçoit comme un laisser-faire généralisé, l’artiste accuse Elon Musk de complicité tacite avec les dérives de la plateforme. « En laissant faire, vous devenez complice de toutes ces malveillances », écrit-elle encore. Cher @elonmusk j'aimerais en ouvrant ma page X ne plus avoir à subir ces tweets postés sans contrôle par des inconnus avec de fastidieuses insultes racistes, misogynes, homophobes & misanthropes. Des tweets d'une violence & d'une sauvagerie insoutenables & inacceptables qui nous… — JEANNE MAS (@JeanneMasNews) April 23, 2025 L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires. Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies J’accepte Elle conclut son message en demandant non pas un changement global, mais un droit simple et fondamental : « Me céder le droit à un accès direct à ma propre page, sans passer et être confrontée à ce que vos adhérents expriment. »